AU TRAVAIL
avec la danse, la jeunesse & le cinéma
2 > 12 AVRIL / INSTALLATION & PERFORMANCE / ÉVRY-COURCOURONNES
ENTROPIC NOW
Nouveau déploiement de l'installation ciné-chorégraphique Entropic Now en huit écrans. Après la salle Gémier de Chaillot Théâtre national de la danse en novembre 2023, l’installation est présentée au Théâtre de l'Agora scène nationale de l'Essonne. Avec Christophe Haleb, Christophe Le Blay, Julien Soulatre, Sylvain Delbart, Benoist Bouvot, Bertrand Wolff, et Damien Ravnich.
Voir la partie RENDEZ-VOUS pour les temps d'ouverture !
8 > 12 AVRIL / MONTAGE / MARSEILLE
LA DANSE D'APOLLONIUS
Première période de montage du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le monteur Sylvain Piot. Projet soutenu par la société MGH Energy, et par la Ville de Marseille dans le cadre de l'Olympiade Culturelle. Labellisé par Paris 2024 dans le cadre de l’Olympiade Culturelle.
22 > 25 AVRIL / TOURNAGE / TOULOUSE
ÉTERNELLE JEUNESSE #TOULOUSE
Après plusieurs temps d’atelier-enquête et de repérage que Christophe Haleb et le photographe Sébastien Normand ont menés dans le quartier de la Reynerie au Mirail, en pleine phase de destruction, Christophe Haleb accompagné du chef opérateur Evan Rouillard et de la technicienne son Tiphaine Depret vont démarrer des sessions de tournage avec les jeunes rencontrés à Toulouse depuis le début de l’année pour la réalisation du 10e épisode de la série. En partenariat avec La Place de la Danse CDCN Toulouse Occitanie.
13 > 16 AVRIL / MONTAGE / MARSEILLE
ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-ROCHEFORT
Première période de dérush et de montage du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le monteur Sylvain Piot.
29 AVRIL > 3 MAI / POST-PRODUCTION / MARSEILLE
LA DANSE D'APOLLONIUS
Finalisation du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb, le monteur Sylvain Piot, le musicien François Richomme, le chorégraphe Marc Vincent, et l'étalonneur Matthieu Weil.
13 > 17 MAI / POST-PRODUCTION / MARSEILLE
ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-ROCHEFORT
Suite du montage du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le monteur Sylvain Piot.
21 > 25 MAI / TOURNAGE / CLERMONT-FERRAND & ROCHEFORT-MONTAGNE
ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-ROCHEFORT
Quatrième et dernière période de tournage avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le chef opérateur Evan Rouillard. En partenariat avec La Comédie scène nationale de Clermont-Ferrand.
27 > 31 MAI / POST-PRODUCTION / MARSEILLE
ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-ROCHEFORT
Suite du montage du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le monteur Sylvain Piot.
10 > 21 JUIN / POST-PRODUCTION / MARSEILLE
ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-ROCHEFORT
Suite du montage du film avec le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb et le monteur Sylvain Piot.
RENDEZ-VOUS
6 > 12 AVRIL / INSTALLATION / THÉÂTRE DE L'AGORA SCÈNE NATIONALE DE L'ESSONNE
ENTROPIC NOW
Ouverture de l'installation de l'installation ciné-chorégraphique Entropic Now en huit écrans.
24 AVRIL / PROJECTION / CINÉMA LE PAGNOL
ENTROPICO
Projection de la série intégrale dans le cadre du festival IMPULSION à Aubagne le mercredi 24 avril à 19h.
7 MAI / PROJECTION / CINÉMA LES CINOCHES
ÉTERNELLE JEUNESSE
Projection en avant-première du 7e épisode de la série aux Cinoches avec tous les protagonistes du film. En partenariat avec Chaillot théâtre national de la danse et le Théâtre de l’Agora scène nationale d’Évry-Courcouronnes.
DANS LES PARAGES
un lieu de résidences pour les artistes à Marseille
22 AVRIL > 3 MAI
PAOLA PISCIOTTANO
RECHERCHE EN COURS. Les documents ont une place importante dans ma pratique d’auteure-metteure en scène. Par document, j’entends : carnets de notes et récits personnels, entretiens avec des experts et/ou avec des personnes-ressources, interviews et articles de presse, images, etc. Créer à partir de documents authentiques (ou en tout cas fiables) est un processus propre au théâtre dit « documentaire », tel que l’a défini notamment Peter Weiss dans les années 1960, et qui reste globalement valable aujourd’hui encore.
Si ce n’est que, depuis le début des années 2000, pour définir notre époque certain·es expert·es parlent d’ère « de la post-vérité » ou « post-factuelle ». Autrement dit, ielles considèrent qu’aujourd’hui les émotions et les opinions ont souvent plus d’impacts que les faits objectifs (avec les conséquences qui en découlent). Dans ce contexte, le document n’a donc plus le même statut d’autorité, a perdu sa valeur probante (son statut de « preuve », de « vérité »).
Dans le cadre de ma recherche à L’L, je souhaite questionner cette intention pédagogique du théâtre documentaire en donnant une place plus centrale à l’imaginaire en tant que capacité à faire en sorte que des choses qui n’étaient pas pensables puissent le devenir. Parallèlement, je désire élargir la notion de document. Je considérerai en tant que documents plus uniquement des éléments que l’on peut strictement qualifier de fiables ou de probants : que ceux-ci proviennent de sites Internet, de réseaux sociaux (posts, commentaires), de vidéos postées sur des réseaux comme YouTube, de jeux vidéo ou encore, que ceux-ci aient été générés par des IA. Dans mon parcours de recherche à L’L, je souhaite partir non pas d’un sujet « sérieux », mais plutôt d’un sujet banal, anodin, issu de la culture pop mais qui, une fois éclaté (inscrit dans une arborescence plus large), permettrait de faire résonner le politique, le sociétal.
En partenariat avec L’L | chercher autrement en arts vivants
Structure basée à Bruxelles, L’L accompagne des pratiques de recherche sur le long terme, volontairement inscrites en-dehors de la chaîne habituelle de production et de représentation. Alliant travail réflexif et pratique de plateau, une recherche à L’L est un processus qui s’étend sur plusieurs années à raison de quatre résidences annuelles, réparties dans différents lieux grâce à un réseau de partenariats internationaux (avec le soutien de Wallonie-Bruxelles international), et pour lesquelles les chercheur·e·s sont accompagné·e·s et soutenu·e·s financièrement par bourse.
www.llrecherche.be
6 > 7 MAI
JULIEN VADET
RECHERCHE EN COURS. Musique expérimentale et improvisée, lutherie électronique, synthèse analogique, machine, installation.
20 > 24 MAI
BRYONY BYRNE
FAN/GIRL. Absurde, optimiste et joyeuse, Fan/Girl est une balade à travers l'adolescence britannique sur fond de football des années quatre-vingt-dix. Avec la touche comique de Ben Target, metteur en scène lauréat du Fringe First, qui utilise de manière ludique l'interaction avec le public, les tubes des années 90, la comédie stupide, le clown et le travestissement pour vous faire éclater de rire et repartir en sanglots. Bryony Byrne, âgée de 36 ans, révèle que ce sont des conversations avec des amis d'enfance qui l'ont amenée à se demander pourquoi toutes les filles qu'elle connaissait avaient arrêté de jouer au football à l'adolescence. Elle nous ramène en 1998, le dernier jour de l'école primaire, et examine ce qui s'est passé. Avec l'aide de son guide spirituel, Eric Cantona, Bryony invite le public à jouer avec elle, pour raviver le sentiment de joie qu'elle éprouvait en jouant au football. Alors que Bryony entre au lycée, les micro-agressions et la misogynie commencent à faire surface. Comment s'intégrer au mieux ? Est-il vrai que le sport va "briser votre hymen" ? Bryony commence à s'effondrer et la complicité du public est mise à rude épreuve. Les attentes des hommes et des femmes, l'exclusion du sport et la rage féminine sont autant de sujets qui font surface et couvent.
27 MAI > 7 JUIN
BASTIEN CHARMETTE
L'ÉCLUSE. Dans ce duo de danse contact, il s’agira de questionner notre rapport à la masculinité à travers une expérience sensorielle du toucher mais aussi en s’inspirant des potentiels de l’imaginaire empruntés au féérique. Ce projet s’organise alors comme un terrain de recherche poétique, questionnant entre autre l’impact de la « masculinité hégémonique » (R. W. Connell) sur nos enfances et celles des générations précédentes. Comment a-t-elle façonné notre rapport à l’autre, à soi et au monde ? Que décidons-nous de garder ou au contraire de rejeter ? Dans une démarche de « partir de ce qui est là, en faire cas et le laisser rêver » (Marielle Macé, Nos Cabanes), le corps devient le site et la matière d’une recherche archéologique sensible.
Mon arrière-grand-père était éclusier, impliquant plusieurs générations de ma famille à être en relation avec cet endroit. Bien que je ne l’ai connue qu’en état de ruine, l’écluse du canal de Saint-Quentin dans l’Aisne a façonné mon imaginaire familial. Ville dans laquelle je suis né et j’ai grandi, que j’ai fuie dès que possible pour les grandes villes. Dans une démarche similaire à Didier Eribon dans Retour à Reims où il décide de retrouver son milieu d’origine, afin d’y poser un regard à travers ses souvenirs en y mêlant ses réflexions sur les classes sociales, le système scolaire, la fabrication des identités, la sexualité, la masculinité, etc., l’écluse m’apparait comme une étude de cas.
RETROUVEZ LES FORCES VIVES QUI DORMENT EN VOUS ET AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES.
PRINTEMPS 2024