Le tout premier épisode de la collection Éternelle Jeunesse est mis en avant sur la plateforme dédiée aux films documentaires TËNK durant quatre mois.

Première des quatre courts métrages ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-FERRAND dans la grande salle de La Comédie scène nationale de Clermont-Ferrand, en présence de Christophe Haleb et Martin Givors, anthropologue.

Projection au cinéma pour ce projet chorégraphique qui est devenu progressivement un film, dans le cadre de la journée professionnelle « Films et expériences de danse ». Ce processus est né d’une invitation du chorégraphe Marc Vincent faite à Christophe Haleb et à sa compagnie de mettre en oeuvre ensemble une performance chorégraphique pensée dans le cadre de l’Olympiade Culturelle 2024.

Projections au cinéma des épisodes : ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-FERRAND - DANS LA CITÉ (2025 - 26 min) ; ÉTERNELLE JEUNESSE #CLERMONT-FERRAND - UNE DANSE PARTICULIÈRE (2025 - 25 min) ; ÉTERNELLE JEUNESSE #ÉTIOLLES-PARIS (2024 - 64 min).

VRAIE. Une réunion collective pour éclairer les ténèbres, à l’intersection de la performance et de l’expérience collective. C’est une recherche sur les restaurations et régénérations des blessures intimes. Une quête sur la notion de ligne de justice, de limites. Un questionnement sur ce qu’on peut ou ne pas dire, ce qu’on peut ou ne veut pas entendre. Le conscient et l’inconscient, le déni, l’oubli, la reconnaissance, la culpabilité. Les cicatrices et le silence créées par les dynamiques de domination patriarcale et la culture du viol maintiennent des systèmes de domination dévastatrice. À travers cette performance, Emeline vise à créer un espace de dialogue, d’expression et de guérison pour elle-même et celleux que cela traversera. VRAIE est un espace expérientiel, dans l’ici et le maintenant en proximité aux spectateur.ice.s qui invoque ainsi le pouvoir de la résilience grâce aux outils de la création avec amour, humour, soin et puissance.

TAPIES (titre provisoire). Pour décrire mon travail, un ami a utilisé le verbe « délirer », qui trouve son origine dans la lire, un outil utilisé pour tracer des sillons dans la terre. Ainsi, « dé-lirer » signifie sortir des sillons, faire un pas de côté. La création TAPIES s’inscrit dans une recherche plus large menée à la Villa Kujoyama autour du Chindogu, concept japonais né dans les années 1980 pour nommer une famille d’outils utiles mais inutilisables car inefficaces pour x raisons. En m’emparant du Chindogu, je cherche à résoudre des situations performatives de façon inefficace. La dramaturgie de TAPIES prend appui sur les procédés de construction de différentes formes spectaculaires comme le cabaret, le concert, les marionnettes, le défilé ou encore les numéros de cirque. Ces procédés permettent de présenter, représenter et rendre visible un geste. Tous seront ici le moyen de déjouer des façons de s’exposer au plateau et par là, d’interroger le spectaculaire.